Voile : Triangle de tissus pour capturer le 
vent.
vent.Port des voiles ?
Bon sujet pour le colloque de la Juriscup 2011.
vendredi 24 septembre 2010
dimanche 12 septembre 2010
Les bateaux fantômes de Reeve Schumacher ont mouillé l'ancre..........
Par un soir de pleine lune, poussés par un fort vent de Floride, le calme revenu, et la brume dissipée, les vaisseaux fantômes de Reeve Schumacher ont trouvé un port d'accueil : L'HOSTE Art Contemporain, Arles, 7 rue de l'Hoste.
Jusqu'au 20 novembre 2010.
Amateurs de Vaisseaux Fantômes, vous pouvez aussi frissonner sur le blog http://lhosteart.blogspot.com/
vendredi 10 septembre 2010
Veni, Vidi, ......Vici !
Comme moi vous vous êtes peut être demandé pourquoi le petit homme du Prado Carénage avait le sourire, à l'entrée du tunnel. Ne cherchez plus.....
Il est tout heureux de votre passage, des € 2,60 que vous allez mettre dans son avaloir.... Après avoir parcouru les 2150 m du tunnel. € 1,20 du kilomètre. Guiness book !
Pour grossir la panse en or des actionnaires.
34 millions de chiffre d'affaires. M€ 10.2 de profit net.
Soit 30% de résultat net après impôt. De quoi sourire béatement non !
Et un détail. Vous savez qui est l'actionnaire pincipal ?
VINCI..... avec le tiers du capital.
Prado Carènage, c'est plutôt "Veni, vidi, Vinci !"
jeudi 9 septembre 2010
Sévices publiques
Roms, .....vil et éternel !
« Je me suis pâmé, il y a huit jours, devant un campement de Bohémiens qui s'étaient établis à Rouen. Voilà la troisième fois que j'en vois. Et toujours avec un nouveau plaisir.
L'admirable, c'est qu'ils excitaient la haine des bourgeois, bien qu'inoffensifs comme des moutons. Je me suis fait très mal voir de la foule, en leur donnant quelques sols.
Et j'ai entendu de jolis mots à la Prudhomme.
Cette haine-là tient à quelque chose de très profond et de complexe. On la retrouve chez tous les gens d'ordre. C'est la haine qu'on porte au Bédouin, à l'Hérétique, au Philosophe, au Solitaire, au Poète. Et il y a de la peur dans cette haine.
Moi qui suis toujours pour les minorités, elle m'exaspère. Du jour où je ne serai plus indigné, je tomberai à plat, comme une poupée à qui on retire son bâton. »
G. Flaubert, lettre à G. Sand, 12 juin 1867
L'admirable, c'est qu'ils excitaient la haine des bourgeois, bien qu'inoffensifs comme des moutons. Je me suis fait très mal voir de la foule, en leur donnant quelques sols.
Et j'ai entendu de jolis mots à la Prudhomme.
Cette haine-là tient à quelque chose de très profond et de complexe. On la retrouve chez tous les gens d'ordre. C'est la haine qu'on porte au Bédouin, à l'Hérétique, au Philosophe, au Solitaire, au Poète. Et il y a de la peur dans cette haine.
Moi qui suis toujours pour les minorités, elle m'exaspère. Du jour où je ne serai plus indigné, je tomberai à plat, comme une poupée à qui on retire son bâton. »
G. Flaubert, lettre à G. Sand, 12 juin 1867
(Correspondance, éd. de la Pléiade tome 5, pp. 653-654)
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